Quatre membres du bureau de l’association “stop aux nuisances10” ont rencontré le maire du 10ème, Rémi Féraud, et son directeur de cabinet William Todeschini.
Tous les thèmes relatifs aux nuisances entraînées par la mono-activité coiffure ont été abordés. L’association n’ayant pas recueilli de plaintes d’adhérents concernant la mono-activité textile, ce sujet n’a pas été traité lors de cette réunion.
La synthèse de nos échanges est résumée ci-dessous, le détail de nos discussions figurant après.
L’association retient ainsi trois points sur lesquels elle va centrer son action :
1. Le suivi de la mise en place de conteneurs-poubelles dans les salons de coiffure de la rue du Château d’Eau, entre la rue du Faubourg Saint-Martin et le Boulevard de Strasbourg. Si vous habitez ou circulez dans ce secteur, faites nous part de vos observations, de vos remarques ; apportez vos témoignages sur notre site !
2. L’interpellation de la RIVP (Régie Immobilière de la Ville de Paris) pour lui demander de ne plus renouveler les baux des salons de coiffure qui sont dans ses immeubles et ce afin de promouvoir la diversité commerciale dans le quartier.
3. La demande de mise en place d'une patrouille de police statique dans la zone Château d'Eau-boulevard de Strasbourg, les jours de forte affluence. Un rendez-vous avec le nouveau commissaire Mr Grinstein sera organisé.
Une pétition citoyenne est envisagée pour appuyer cette demande. On la fera circuler via le site ou par e-mail.
▪ Le développement de la mono-activité coiffure afro
Rémi Féraud estime que la coiffure afro « se développe et se développera ». Il précise « on arrive à contenir le développement massif de la coiffure afro dans un périmètre ». En revanche, Rémi Féraud reconnaît « un échec sur le cœur de quartier Château d'Eau », [rue du Château d’Eau, entre Faubourg Saint-Martin et Faubourg Saint-Denis, NDLR] parce qu'il n'y a jamais de murs à vendre (seulement des baux à céder).
▪ L'action de la SEMAEST
« La SEMAEST rachète tous les murs qui sont à vendre, ce n'est pas une question de moyens » indique Rémi Féraud, qui relève également avec intérêt que les rachats récents avec installation de commerces variés ont enclenché un « effet d'entraînement dans le secteur qui va de Château d'Eau jusqu'à République ». Rémi Féraud se disait en effet inquiet pour ce secteur et redoutait « une extension de la coiffure dans ce périmètre ».
Même soulagement du maire pour le secteur opposé, au-delà de la rue du Faubourg Saint-Denis avec ce qui se nomme « Little Paradis », le retour des activités de création dans cette partie là du quartier est encourageant pour la diversité commerciale.
Dès qu'il y a un signalement de mur à vendre, Rémi Féraud explique qu'ils « agissent ». En revanche, ils ne peuvent pas solliciter directement les propriétaires avant une vente. Autre difficulté, la SEMAEST ne peut agir sur les baux commerciaux.
Par ailleurs, il n'était pas au courant que Tony Dreyfus promettait à tous les habitants de faire une proposition de loi pour modifier les règles de l'urbanisme commercial pour s'attaquer à la mono-activité.
▪ La RIVP, complice de la mono-activité
Rémi Féraud relève ainsi un paradoxe dans l'action de la mairie, « un problème de cohérence de l'intervention publique » pour reprendre ses mots :
- d'un côté, la SEMAEST rachète les murs pour lutter contre la mono-activité ;
- de l'autre côté, la RIVP (Régie Immobilière de la Ville de Paris, société d’économie mixte en charge de la gestion des logements sociaux de la ville) favorise la mono-activité dans les murs qu'elle possède.
D'après le maire, la RIVP cherche seulement à rentabiliser au maximum les murs qu'elle possède en rez-de-chaussée et « les commerces afros payent bien », selon lui.
Rémi Féraud nous encourage à saisir le Président de la RIVP, Pierre Aidenbaum, également maire du 3ème arrondissement, sur le sujet, ce que l’association ne manquera pas de faire.
Rémi Féraud dit l'avoir déjà fait et est prêt à nous fournir la liste des immeubles qui appartiennent à la RIVP.
Rémi Féraud affirme également être déjà intervenu pour faire démonter l’échafaudage installé sur l’immeuble de la RIVP, à l'angle de la rue du Château d'Eau et du Boulevard de Strasbourg [échafaudage en place depuis plus de 6 mois sans aucun travaux de ravalement et qui sert de squat, de lieu de planques de stupéfiants et de salle de gym, NDLR].
▪ La propreté
Rémi Féraud explique que si beaucoup de salons n'ont pas de conteneurs poubelles, c'est parce que les copropriétés leurs refusent un accès à leurs locaux poubelles.
William Todeschini explique qu’à sa demande, la Propreté de Paris a entamé un recensement : « cela permettra de voir qui a une poubelle et qui n'en a pas ».
William Todeschini parle d'une expérience sur le petit périmètre de la rue du Château d'Eau entre le Boulevard de Strasbourg et la rue du Faubourg Saint-Martin. La mairie distribuera de nouveaux conteneurs à ceux qui n'en ont pas ou plus. Elle mettra en place un suivi régulier « une à deux fois par mois », a bien précisé William Todeschini.
▪ Le stationnement
Pour le bateau de la rue du Château d'Eau, un vote de l'assemblée générale de la copropriété concernée est nécessaire pour condamner définitivement le passage voiture, avec un relèvement du trottoir et l'installation d'un plot (la mairie s'y engage). Rémi Féraud demandera au commissaire que ses équipes mettent des PV aux voitures stationnées sur cette place, ainsi que sur les places de livraison du boulevard de Strasbourg.
Concernant la circulation piétonne dans la piste cyclable de la rue du Château d'Eau, Rémi Féraud dit qu'il « n'a pas de solution ». Il ne veut pas mettre de croix de Saint-André, « qui serviraient très vite de sièges ».
▪ Rassemblements nocturnes, nuisances sonores et consommation d'alcool
Rémi Féraud « ne trouve pas que les problèmes d'occupation de l'espace public empirent ». La mise en place de correspondants de nuit, sur le modèle de ce qui se fait à Stalingrad, « n'est pas prévu ». Il n'y a donc « pas de budget pour ça à court terme » nous a prévenus le maire. En revanche, sur le principe, il nous dit que c'est « envisageable », tout en faisant remarquer qu'il ne faudrait « pas trop en attendre ».
Pour les problèmes de consommation d'alcool, Rémi Féraud estime que la police n'utilise pas assez l'arrêté d'interdiction de consommation d'alcool, notamment dans la rue du Faubourg Saint-Denis. Avec 10% d'effectifs en moins, la police manque également de moyen selon le maire. Il se dit « très favorable à la présence de policiers statiques (une voiture en permanence comme à Château Rouge), mais il n'y a plus d'effectif pour ça » selon lui.
▪ Trafic de drogue et prostitution
Le commissaire a indiqué au maire qu'il y avait du trafic. « La police enquête mais c'est long », nous indique Rémi Féraud qui ne nie pas le problème.
Il semble beaucoup moins inquiet sur le développement de la prostitution. Pour lui, la solution pour éviter que le quartier ne soit envahi par la prostitution, c'est la pénalisation du client.
▪ L'action d’ABSACE et les rabatteurs
A propos de la « milice » qui gère les rabatteurs, Rémi Féraud estime que « ce n'est pas génial » mais, ajoute-t-il, « si je leur dis d'arrêter, on reviendra comme avant. Je fais en sorte que ça n'empire pas ».
Le maire a reçu ABSACE encore récemment mais relève que « beaucoup de salons n'y adhèrent pas ». Il juge assez sévèrement leur travail : « il n'y a pas de résultat et je leur dis, nos rencontres sont parfois assez froides. »
▪ Actions concertées des services
Il y a déjà eu des actions du CODAF (Comité Opérationnel Départemental Anti-Fraude – réunissant police, inspection du travail, douane, hygiène, etc) et il y en aura d'autres, « des salons ont déjà reçus des amendes lourdes » selon William Todeschini.
Tous les thèmes relatifs aux nuisances entraînées par la mono-activité coiffure ont été abordés. L’association n’ayant pas recueilli de plaintes d’adhérents concernant la mono-activité textile, ce sujet n’a pas été traité lors de cette réunion.
La synthèse de nos échanges est résumée ci-dessous, le détail de nos discussions figurant après.
L’association retient ainsi trois points sur lesquels elle va centrer son action :
1. Le suivi de la mise en place de conteneurs-poubelles dans les salons de coiffure de la rue du Château d’Eau, entre la rue du Faubourg Saint-Martin et le Boulevard de Strasbourg. Si vous habitez ou circulez dans ce secteur, faites nous part de vos observations, de vos remarques ; apportez vos témoignages sur notre site !
2. L’interpellation de la RIVP (Régie Immobilière de la Ville de Paris) pour lui demander de ne plus renouveler les baux des salons de coiffure qui sont dans ses immeubles et ce afin de promouvoir la diversité commerciale dans le quartier.
3. La demande de mise en place d'une patrouille de police statique dans la zone Château d'Eau-boulevard de Strasbourg, les jours de forte affluence. Un rendez-vous avec le nouveau commissaire Mr Grinstein sera organisé.
Une pétition citoyenne est envisagée pour appuyer cette demande. On la fera circuler via le site ou par e-mail.
▪ Le développement de la mono-activité coiffure afro
Rémi Féraud estime que la coiffure afro « se développe et se développera ». Il précise « on arrive à contenir le développement massif de la coiffure afro dans un périmètre ». En revanche, Rémi Féraud reconnaît « un échec sur le cœur de quartier Château d'Eau », [rue du Château d’Eau, entre Faubourg Saint-Martin et Faubourg Saint-Denis, NDLR] parce qu'il n'y a jamais de murs à vendre (seulement des baux à céder).
Point de vue de l'association :
- un point positif : il n'y aurait pas d'extension notable au-delà des zones déjà très densément occupées par cette mono-activité ;
- un point négatif : à l'intérieur de ces zones, pas d'amélioration face aux nuisances subies par les habitants. Un constat d'échec, c'est un début, mais il faut aller au-delà.
- un point positif : il n'y aurait pas d'extension notable au-delà des zones déjà très densément occupées par cette mono-activité ;
- un point négatif : à l'intérieur de ces zones, pas d'amélioration face aux nuisances subies par les habitants. Un constat d'échec, c'est un début, mais il faut aller au-delà.
▪ L'action de la SEMAEST
« La SEMAEST rachète tous les murs qui sont à vendre, ce n'est pas une question de moyens » indique Rémi Féraud, qui relève également avec intérêt que les rachats récents avec installation de commerces variés ont enclenché un « effet d'entraînement dans le secteur qui va de Château d'Eau jusqu'à République ». Rémi Féraud se disait en effet inquiet pour ce secteur et redoutait « une extension de la coiffure dans ce périmètre ».
Même soulagement du maire pour le secteur opposé, au-delà de la rue du Faubourg Saint-Denis avec ce qui se nomme « Little Paradis », le retour des activités de création dans cette partie là du quartier est encourageant pour la diversité commerciale.
Dès qu'il y a un signalement de mur à vendre, Rémi Féraud explique qu'ils « agissent ». En revanche, ils ne peuvent pas solliciter directement les propriétaires avant une vente. Autre difficulté, la SEMAEST ne peut agir sur les baux commerciaux.
Par ailleurs, il n'était pas au courant que Tony Dreyfus promettait à tous les habitants de faire une proposition de loi pour modifier les règles de l'urbanisme commercial pour s'attaquer à la mono-activité.
▪ La RIVP, complice de la mono-activité
Rémi Féraud relève ainsi un paradoxe dans l'action de la mairie, « un problème de cohérence de l'intervention publique » pour reprendre ses mots :
- d'un côté, la SEMAEST rachète les murs pour lutter contre la mono-activité ;
- de l'autre côté, la RIVP (Régie Immobilière de la Ville de Paris, société d’économie mixte en charge de la gestion des logements sociaux de la ville) favorise la mono-activité dans les murs qu'elle possède.
D'après le maire, la RIVP cherche seulement à rentabiliser au maximum les murs qu'elle possède en rez-de-chaussée et « les commerces afros payent bien », selon lui.
Rémi Féraud nous encourage à saisir le Président de la RIVP, Pierre Aidenbaum, également maire du 3ème arrondissement, sur le sujet, ce que l’association ne manquera pas de faire.
Rémi Féraud dit l'avoir déjà fait et est prêt à nous fournir la liste des immeubles qui appartiennent à la RIVP.
Rémi Féraud affirme également être déjà intervenu pour faire démonter l’échafaudage installé sur l’immeuble de la RIVP, à l'angle de la rue du Château d'Eau et du Boulevard de Strasbourg [échafaudage en place depuis plus de 6 mois sans aucun travaux de ravalement et qui sert de squat, de lieu de planques de stupéfiants et de salle de gym, NDLR].
▪ La propreté
Rémi Féraud explique que si beaucoup de salons n'ont pas de conteneurs poubelles, c'est parce que les copropriétés leurs refusent un accès à leurs locaux poubelles.
William Todeschini explique qu’à sa demande, la Propreté de Paris a entamé un recensement : « cela permettra de voir qui a une poubelle et qui n'en a pas ».
William Todeschini parle d'une expérience sur le petit périmètre de la rue du Château d'Eau entre le Boulevard de Strasbourg et la rue du Faubourg Saint-Martin. La mairie distribuera de nouveaux conteneurs à ceux qui n'en ont pas ou plus. Elle mettra en place un suivi régulier « une à deux fois par mois », a bien précisé William Todeschini.
▪ Le stationnement
Pour le bateau de la rue du Château d'Eau, un vote de l'assemblée générale de la copropriété concernée est nécessaire pour condamner définitivement le passage voiture, avec un relèvement du trottoir et l'installation d'un plot (la mairie s'y engage). Rémi Féraud demandera au commissaire que ses équipes mettent des PV aux voitures stationnées sur cette place, ainsi que sur les places de livraison du boulevard de Strasbourg.
Concernant la circulation piétonne dans la piste cyclable de la rue du Château d'Eau, Rémi Féraud dit qu'il « n'a pas de solution ». Il ne veut pas mettre de croix de Saint-André, « qui serviraient très vite de sièges ».
▪ Rassemblements nocturnes, nuisances sonores et consommation d'alcool
Rémi Féraud « ne trouve pas que les problèmes d'occupation de l'espace public empirent ». La mise en place de correspondants de nuit, sur le modèle de ce qui se fait à Stalingrad, « n'est pas prévu ». Il n'y a donc « pas de budget pour ça à court terme » nous a prévenus le maire. En revanche, sur le principe, il nous dit que c'est « envisageable », tout en faisant remarquer qu'il ne faudrait « pas trop en attendre ».
Pour les problèmes de consommation d'alcool, Rémi Féraud estime que la police n'utilise pas assez l'arrêté d'interdiction de consommation d'alcool, notamment dans la rue du Faubourg Saint-Denis. Avec 10% d'effectifs en moins, la police manque également de moyen selon le maire. Il se dit « très favorable à la présence de policiers statiques (une voiture en permanence comme à Château Rouge), mais il n'y a plus d'effectif pour ça » selon lui.
Point de vue de l'association :
C’est une chose que l'association a demandée à plusieurs reprises au commissaire du 10ème. Les habitants savent très bien qu'aussitôt les policiers repartis, ça recommence. Une présence statique est demandée, les vendredis et samedi après-midi, tout au moins.
C’est une chose que l'association a demandée à plusieurs reprises au commissaire du 10ème. Les habitants savent très bien qu'aussitôt les policiers repartis, ça recommence. Une présence statique est demandée, les vendredis et samedi après-midi, tout au moins.
▪ Trafic de drogue et prostitution
Le commissaire a indiqué au maire qu'il y avait du trafic. « La police enquête mais c'est long », nous indique Rémi Féraud qui ne nie pas le problème.
Il semble beaucoup moins inquiet sur le développement de la prostitution. Pour lui, la solution pour éviter que le quartier ne soit envahi par la prostitution, c'est la pénalisation du client.
▪ L'action d’ABSACE et les rabatteurs
A propos de la « milice » qui gère les rabatteurs, Rémi Féraud estime que « ce n'est pas génial » mais, ajoute-t-il, « si je leur dis d'arrêter, on reviendra comme avant. Je fais en sorte que ça n'empire pas ».
Le maire a reçu ABSACE encore récemment mais relève que « beaucoup de salons n'y adhèrent pas ». Il juge assez sévèrement leur travail : « il n'y a pas de résultat et je leur dis, nos rencontres sont parfois assez froides. »
▪ Actions concertées des services
Il y a déjà eu des actions du CODAF (Comité Opérationnel Départemental Anti-Fraude – réunissant police, inspection du travail, douane, hygiène, etc) et il y en aura d'autres, « des salons ont déjà reçus des amendes lourdes » selon William Todeschini.
Que personne aux cheveux bouclés ne rêve pas d’avoir les cheveux raides, honnêtement? Combien de personnes aux cheveux bouclés ont essayé, et parfois avec un certain succès,
RépondreSupprimerCette réaction illustre bien le mépris des problèmes liés aux conditions d'exploitation de ce commerce coiffure-onglerie.
RépondreSupprimerLa question n'est pas l'objet de l'activité mais les conditions de son exercice.
Bien sûr, chacun peut se faire raidir les cheveux s'il le souhaite !!!
Sophie, habitante du 10e arrondissement
c'est cette incompréhension du vrai problème qui raidit la situation ! On n'a rien contre des coiffeurs, afro ou pas, qui respectent la liberté du choix, du trottoir, de l'hygiène, de la diversité, notre espace commun ! Mais on ne veut pas des vendeuses de jus, des papiers des sandwichs , des cheveux , et de tous ces rabatteurs-dealer qui n'ont aucune raison d'être, si les salons sont officiellement déclarés ! l'incompréhension va loin ! Car une fois où je ramassais des papiers, l'un d'entre eux m'a dit qu'il y avait des gens payés pour ça ! par vous? ai-je demandé ! réponse : t'es raciste ! moi j'ai le droit de faire ce que je veux car mon grand père est mort pour la France ! je réponds, "les 2 miens aussi , et c'est même pour ça que je préfère faire des efforts pour respecter une belle France propre ! votre et mes grands pères en auraient été fiers" ! Depuis on se parle de temps en temps !!
RépondreSupprimerIl y a donc un problème de susceptibilité et de non dits !
Espérons que notre nouveau maire ne va pas encore se retrancher dans un silence laxiste nuisible !
Prostitution: Il semble beaucoup moins inquiet sur le développement de la prostitution. Pour lui, la solution pour éviter que le quartier ne soit envahi par la prostitution, c'est la pénalisation du client.
RépondreSupprimerCommentaire: je suis content que le maire ne soit pas inquiet de la prostitution, mais j'aimerais savoir où il habite. Pour ma part, des prostituées travaillent en bas de chez moi, à l'angle Gustave Goublier/Strasbourg, depuis 2 ans. Doit-on se contenter de voir se phénomène se répandre sans rien faire? La prositution chinoise est présente dans le quartier et augmente sans cesse (Monoprix, bas de strasbourg, à toute heure).
Par ailleurs, savez-vous ce qu'il en est de la pénalisation des clients évoquée dans l'article?
Merci! :)
Dès que nous osons répondre , on nous argue que nous sommes racistes, la discussion est impossible.
RépondreSupprimerEst ce raciste que d'exiger que le SDF qui squatte l'angle du boulevard de Strasbourg près de la poste , et qui urine et défèque en pleine rue ( je l'ai vu !!!!!!) soit mis dans un institut ou un centre où nos l'argent de nos impôts lui rendra un peu de dignité ?
Je suis tout à fait en phase avec les commentaires précédents. La Mairie ne s'intéresse à ces problèmes qu'aux travers de la communication qui ne se traduit pas par des actions perceptibles de la part des habitants et réduisant les nuisances. Exemple : l'échaffaudage sur le batiment à l'angle chateau d'eau , bd de strasbourg est installé depuis des mois sur un immeuble de la ville de Paris et rien ne bouge, bien que la Mairie ait été alertée plusieurs fois...
RépondreSupprimerLa semaest pourtant prevenue de la vente de murs de commerces au Prado...n.avait en 2010 rien rachete du tout et les nouveaux proprietaires continuaient aux dernieres nouvelles a venir chercher chaque mois les loyers en especes des salons...placement lucratif pour des concitoyens rarement inquietes qui eux n'habitent pas sur place mais dans les beaux quartiers....
RépondreSupprimerLe passage Crado , vous voulez plutôt dire ? Que font les autorités pour y faire un peu de ménage ?
RépondreSupprimerChantal coiffure y a exercé des années en étant rayée du registre du commerce et sans être importunée ... remplacée par " La tondeuse magique ".. si vous trouvez son inscription au registre du commerce a cette dernière je vous paye des figues !
Un audit sérieux de tous les commerces du passage ne serait pas du luxe.
Comme par hasard l'angle Bld de Strasbourg / château d'eau a été débarrassée de sa verrue visuelle . Législative oblige, la mairie serait elle en train de se donner bonne conscience à des vues électoralistes alors que pendant des mois les habitants ont du supporter ça au quotidien ... comme quoi quand on veut bien s'en donner la peine...
RépondreSupprimer"Rémi Féraud nous encourage à saisir le Président de la RIVP, Pierre Aidenbaum, également maire du 3ème arrondissement, sur le sujet, ce que l’association ne manquera pas de faire".
RépondreSupprimerLes dernières ouvertures de nouvelles boutiques de coiffeurs dans le quartier m'ont fait me rappeler la RIVP: depuis cet entretien avec le Maire, l'association a-t-elle pu prendre contact avec Monsieur Aidenbaum et si oui, quelle a été sa réaction?
Vous remerciant pour votre réponse.
V.B.
Excellent rappel !
SupprimerAprès recherches, notre lettre datée du 2 mai a été poste le 10 mai 2012.
Le délai semblant raisonnable pour une réponse, le CA réuni hier a décidé de faire une relance.
Nous allons aussi la publier sur le site pour la porter à votre connaissance.