Témoignage d'un adhérent de l'association
Bruno Autin, habitant du passage du Prado (18-20 boulevard Saint-Denis), nous fait part de son expérience et illustre son triste récit de photographies éloquentes.
Bruno Autin, habitant du passage du Prado (18-20 boulevard Saint-Denis), nous fait part de son expérience et illustre son triste récit de photographies éloquentes.
Le passage du Prado est un lieu privé, mais le type de nuisances étant similaire à ce que l’association dénonce pour l’espace public de nos quartiers, il nous semble intéressant de vous communiquer ce témoignage révélateur.
- Un salon afro situé sous la fenêtre de mon salon et sous ma terrasse privative. Je supporte une vue pour le moins répugnante, ainsi que les conversations à voix très haute de la coiffeuse et des clientes toute la journée jusqu’à 22 h (sur fond sonore de sèche-cheveux).
- Un salon pakistanais sous mon séjour. Alors que la destination légale d’un salon de coiffure l’interdit, ce local sert aussi de logement. La nuit, les odeurs de cuisine qui en émanent viennent empester mon appartement.
Dans la courette, un cabinet de toilette est utilisé par trois salons de coiffure ; certains jours, les va-et-vient se multiplient de 10 h à 22 h. Difficile de rester calme dans ce contexte. »
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